E12. Second test: appel au scientifique que vous êtes

L’expérience du pincement est un test classique pour démontrer l’utilité de l’électromètre de Scientologie. Cet outil sert à localiser un événement dans la mémoire contenant de la douleur. Comment cela fonctionne ? Voyons d’abord en détail ce qui s’est passé durant ce test :

L’expérience montre les faits suivants (pardonnez certaines évidences, mais elles sont importantes à l’analyse) :

  1. la douleur du pincement n’est pas désirée par la personne qui vous le confirmera,
  2. la douleur physique influence la résistance électrique du corps puisque l’aiguille bouge.

On peut donc tirer une première conclusion : la douleur est en soi un signal électrique affectant donc la résistance du corps. Une résistance électrique que mesure scientifiquement l’instrument de mesure.

  1. Le signal électrique dans le corps lors du moment de la douleur est le même que lors de la demande du rappel, puisque c’est le même mouvement d’aiguille.

De cette observation, on peut donc conclure que le signal électrique est stocké quelque part dans le corps et peut être mobilisé à nouveau. On peut nommer provisoirement ce principe mémoire du corps.

  1. La demande verbale externe du rappel a piloté la réaction dans le corps,
  2. la personne ressent une seconde fois cette douleur par le biais de la seule présence du souvenir alors qu’il n’y a pas de seconde douleur externe induite,
  3. la personne, en contactant ce souvenir, simule involontairement la douleur originale, alors qu’elle n’aime pas la douleur, elle n’en a donc pas le contrôle.

Ainsi, alors qu’elle n’a aucun intérêt ni intention de se refaire mal, sur simple rappel, la douleur réapparaît contre le libre arbitre de la personne, l’obligeant à subir à nouveau les mêmes sensations. Devons nous conclure que la personne est programmable ? Rassurez-vous :

  1. En demandant à la personne de se rappeler plusieurs fois le moment et d’en parler, la douleur enregistrée va s’estomper puis disparaître. Ceci est montré par l’aiguille qui reprend petit à petit le mouvement d’avant le pincement.

On voit donc que le dialogue sur l’événement et l’applanissement ou l’usure du phénomène de rappel de cette douleur sont un moyen d’effacer l’enregistrement du pincement. La finalité de ce dialogue est une personne qui ne ressent plus la douleur suite à un rappel, non pas parce qu’elle est reconditionnée à ne plus la sentir, mais parce que la source a réellement disparu, la mémoire du corps est réellement vidée, effacée. Un rappel suivant n’opère plus de réaction, elle en est libérée.

Ce qui se passe ici, c’est d’avoir écrit une douleur dans les mémoires du corps (les cellules, les neurones, local ou dans le cerveau, le mental, qu’importe) et de raviver cette douleur par un simple rappel verbal. La répétition consciente du rappel efface heureusement cette mémoire spécifique du corps, comme si une usure se créait.

Les neurosciences diraient que les nœuds ou conflits de signaux électriques se sont défaits. Certains diraient que le traitement des informations a pu se terminer proprement, d’autres diraient que le mental a pu se décharger, qu’importe le vocabulaire et la science qui en parle le mieux, le phénomène est bien là et pour tout le monde ainsi, car c’est un ancien mécanisme de survie de notre corps…

Cette expérience met à la fois en évidence le mécanisme de programmation de l’individu par la douleur, mais aussi sa solution par la communication. Une expérience simple et très parlante, dont on verra sa déclinaison dans la vie juste après…


À retenir :

Douleur = signal électrique stocké = douleur latente restimulable ensuite sur demande

Rappeler plusieurs fois la scène d’enregistrement = libération des signaux correspondant = effacement des douleurs passées = libération de l’être


 

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