E17. Un exemple d’erreur de pensée détectée à l’électromètre

Et s’il y avait des pensées induites par nous-même qui auraient le même effet à l’électromètre qu’une douleur reçue, que serait-elle ? Il y a effectivement, et de plusieurs types, en voici une. Il existe une autre façon de faire bouger l’aiguille de l’électromètre, comme le ferait un rappel d’événement douloureux, mais cette fois sans douleur physique. Il s’agit de l’acte néfaste, une action psychologique induite par la personne elle-même et non l’environnement comme les incidents engrammiques précédents.

L’acte néfaste est un acte fait ou omis d’être fait par la personne, ou une pensée qui lèse quelqu’un ou quelque chose en invalidant durement son existence. C’est un acte qui fait du mal, réduit la capacité de la vie, stoppe la force vitale. La retenue est un acte néfaste que l’on retient de divulguer et qu’un autre a presque découvert consciemment ou pas. Elle suit tout de suite après l’acte néfaste.

Pierrot a volé de la confiture alors que c’est interdit. Il cache la chose, sursaute quand on le croise et transpire à chaque fois qu’on parle de petit déjeuner et de confiture. Il se retient d’avouer son acte néfaste de peur de vivre une punition ou un acte néfaste en retour. Cette réaction est naturelle et propre à la nature éthique de l’homme.

Une retenue se perçoit quand quelqu’un critique, ne dit pas les choses en face, évite un sujet, il retient un acte, une pensée néfaste, même légère mais per4ue importante pour lui. La retenue tente d’être résolue par un acte néfaste suivant motivé par le précédent non résolu, non avoué, pardonné et réparé. De l’autre côté, la victime de l’acte néfaste a un motivateur pour en faire un autre, en retour ou à une autre personne. Ces deux conséquences réciproques propagent, par l’inconscience des auteurs, le virus de la méchanceté et de l’oppression.

N’avez-vous jamais séparé des enfants qui s’accusent réciproquement avec méchanceté ? Moqueries à l’école sont le stade de début de rétention et de cacher les motivateurs. Bêtises et crasses à d’autres trouvent ainsi leurs inspirations.

Si vous ressentez de la haine exprimée ou non, une envie de faire mal, de vous venger, d’être hostile même secrètement, ou négligeant envers l’environnement ou d’autres, vous êtes sur la voie de commettre l’acte néfaste si ce n’est pas déjà fait. Il se fait avec ou sans raison, mais une fois fait, il s’inscrit dans le mental réactif comme une faute perçue comme grâve.

Ce genre de phénomène psychologique, vous n’allez pas le croire, produit aussi une réaction spécifique sur l’électromètre lorsqu’on demande à la personne de se rappeler d’un acte néfaste ou d’une retenue. Vous ne voyez plus une aiguille flottante, signe de paix intérieure, mais un mouvement rapide et forcé, signe de tension interne, de changement brutal de la résistance du corps… Si avant de rendre le billet vous preniez les boites de l’électromètre et que vous seriez questionné sur une éventuelle retenue, l’électromètre l’indiquerait positif.

L’électromètre trahit la présence d’un acte néfaste sur demande, mais ne dit rien sur son contenu. Pour obtenir le contenu, vous devez avoir le consentement de la personne pour le dire d’elle-même. Vous l’obtenez en lui offrant la connaissance de ce qu’il se passe et de la liberation qu’elle gagnera à en parler, etc.

Le fait que la personne puisse éventuellement retenir si fermement un acte néfaste est la peur engrammique de la réprimande. De plus, les actes néfastes fonctionnent aussi comme des chaînes dans le mental, ce qui génère de la dépendance ou des mauvaises habitudes (compulsion à refaire des actes néfastes, à les banaliser et tolérer). De nouveau, pour briser cela, la personne doit grandir moralement pour reprendre le dessus sur le phénomène, puis effacer ces retenues, nous verrons comment plus loin.


À retenir :

Une erreur d’éthique ou une retenue, produit une pensée inscrite dans le mental réactif et se détecte par l’électromètre au même titre qu’une douleur physique imposée.

Erreur d’éthique = pensée dans le mental réactif = charge mentale = aberration


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