E18. Voici l’origine des pulsions de l’oppression, tout bord confondu

Si l’acte néfaste l’est pour une personne et pas pour l’autre, c’est une histoire de différence de niveau de conscience sur le sujet de l’éthique, c’est-à-dire sa connaissance de ce qu’est le plus grand bien pour le plus grand nombre d’êtres vivants et de choses.

Piquez un billet de 10 dans le porte-monnaie de votre ami et observez pendant quelque temps votre façon de vous retenir, comment vos pensées sont malmenées, qui surveillez-vous, les sursauts et le malaise. Puis allez vers votre ami et racontez votre expérience tout en lui rendant le billet. Ce doit être un ami qui vous connaît et vous pardonnera, sinon ne le faites pas ! Par cet exercice, vous saurez mieux ce qu’est la retenue d’un acte néfaste et que la trace mentale est réversible.

Imaginez cette fois que vous gardiez le billet de 10 volé à votre ami, comment évoluerait votre relation avec lui ? Les retenues sont un des phénomènes psychologiques responsable de changements du comportement humain et dégradent leurs relations. Suspicions et non-dits, malaises, hésitations, pressions et peurs, vengeance et hostilité couverte apparaissent et minent la qualité des communications, des échanges, du travail en commun et l’intelligence des produits.

La retenue de l’un peut servir de justification pour que l’autre en face une à son tour, et la spirale descend… Cela se voit bien chez les enfants, c’est le même mécanisme de fond chez les adultes mais avec plus de conditionnement mental autour pour gérer les effets.

En fait, les retenues descendent le niveau d’éthique du groupe et donc de ce que produit ce groupe, d’où par exemples, le manque de considérations de la part d’encore trop de gens sur les dégâts planétaires de notre mode d’économie. Le fait que tout le monde fasse le même genre d’actes néfastes, ne résoud pas les blessures mentales et leurs conséquences. Nombreuses sociétés et entreprises ont sombrées dans l’agonie en tombant dans ce piège du mental.

Il y a des cas particuliers à ce mécanisme acte néfaste – retenue – motivateur. Par exemple, une aberration typique peut mener la personne à ne plus se retenir et produit des actes néfastes sans cesse. Une autre serait d’avoir un concept inverse de l’éthique. On appelle ses gens mal tournés des suppresseurs (oppresseurs). Ces gens, pour rester dans la société, doivent user de stratagèmes pour ne pas se faire virer de la scène. Ils utilisent notamment nos propres retenues pour nous soumettre bon gré mal gré à leur jeu d’oppression. Autour d’eux règnent misère, confusion, burn-out, pertes, guerres et échecs. Et eux s’en sortent bizarrement bien…

Ce simple sujet de la retenue prouve la nature bonne de l’Homme. S’il était mauvais, l’acte néfaste serait normal, ne ferait pas de trace metale, pas de réaction à l’électromètre car l’acte n’entrerait pas en conflit avec la valeur éthique fondamentale de l’auteur. S’il était mauvais, ce monde ne serait tout simplement pas là sous nos yeux, car l’acte néfaste se moque de la survie et de la valeur de la vie.

Si l’homme n’est pas encore meilleur que cela, c’est que la vieille retenue plane dans nos têtes et qu’on laisse encore trop de place aux suppresseurs. Tout simplement.

L. Ron Hubbard a décrit des règles simples à suivre pour rester sur le chemin du bonheur (Site annexe de l’Église de Scientologie).


À retenir :

Retenue = justification pour d’autres actes néfastes = spirale dégradante

Retenir un acte néfaste = preuve de la nature bonne de l’Homme


Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

CAPTCHA ImageChange Image