E10. L’électromètre est un outil de recherche scientifique avec ces limites

L’électromètre ne se branche pas à autre chose qu’un corps humain, ni ne sert à d’autres utilisations que l’étude de cette variation de résistance corporelle. De façon bien anecdotique, puisqu’il marche pour la lecture de corps vivants, il fonctionne théoriquement aussi sur des animaux voire même des plantes. Son but est d’aider à la thérapie des Hommes.

L’électromètre prouve que des phénomènes électriques se passent dans un corps vivant, mais ne montre que la somme de ses réactions sous forme de moyenne, et des réactions momentanées affectant cette moyenne.

Du fait de sa mesure globale, il ne peut rien diagnostiquer de pathologique ni localiser quoi que ce soit. Il dit simplement que sa résistance moyenne change, et c’est au chercheur ou à l’auditeur (thérapeute scientologue) de faire le lien entre le stimuli produit envers la personne à travers une question et la réaction de l’aiguille.

Nous avons vu quelques stimuli physiques plus haut et leur réaction à l’électromètre, tel que bouger, bailler, tousser, serrer les boites, tendre un muscle, déglutir, fatigue, etc… Y a-t-il des stimuli dont l’origine est autre que provenant du corps physique et qui produisent aussi des réactions de l’électromètre ? Bien sûr vous vous en doutez…

Ayant vu comment le corps de base fonctionne, en tout bon scientifique que nous restons, nous pourrions maintenant différencier ces réactions physiologiques avec des réactions provenant d’autres origines. Tel est finalement l’intérêt de cet appareil, vous en conviendrez. C’est ce que la partie suivante se propose de vous illustrer.


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