Voici pourquoi la Scientologie pourrait ne pas pouvoir vous aider.

chiot trahi

Vous est-il déjà arrivé d’être repoussé alors que vous proposiez votre aide ? Et bien il y a une raison, et c’est la même qui éloigne les gens de la Scientologie, dont l’intention induite par son fondateur est d’aider.

Il y a une corrélation entre oppression, l’effet trahison, et le fait que l’on s’effraye de la Scientologie alors qu’elle est un outil très efficace pour sortir de l’oppression, justement. Comment est-ce possible que ce qui rendrait plus fort contre l’oppression soit perçue comme oppressif ? Comment cette inversion a-t-elle pu avoir lieu ?

Pour arriver à inverser cela, il faut des oppresseurs, des moyens, et des techniques de manipulation des masses. Mais pour arriver à créer cet effet, il faut que chacun ait une accroche dans son mental… Cette accroche est la raison de la résistance par l’autre à accepter votre aide. Laquelle est-elle ? Ron Hubbard la trouva en 1960.

Ron Hubbard n’avait comme idéal que de libérer les êtres de leur « cage mentale. ». C’est un peu le chercheur dans son laboratoire, qui, à cause de son succès, se voit entouré d’une organisation appelée Église de Scientologie distribuant les fruits de ses recherches. Il a réussit en tant que chercheur car tout est écrit et légué à l’Humanité entière, résultats répétitifs à l’appui. Les églises de son règne ont peiné à réaliser son rêve d’une planète de Clairs à cause de la pression oppressive. Son successeur auto-proclamé a changé ses buts fondamentaux de libérer le plus grand nombre de l’oppression par le développement de soi par l’atteinte de cet état de Clair. On le voit à travers les résultats : l’oppression aujourd’hui plus à fond que jamais… Pourquoi ce résultat lamentable ? Ici un indice, un rouage de la mécanique générale inhibant tout succès à aller mieux, raison déjà identifiée par Ron Hubbard à l’époque.

Ron Hubbard a expliqué tous les principes du bouton de la peur sur la Scientologie qu’il publia en 1960 dans son Bulletin libéré par l’Office Hubbard de Communication sous l’HCOB suivant, commenté pour vous en italique. C’est un fondement autant pour savoir comment oppresser (et ils le savent) que pour se libérer de l’oppression. Nous comptons sur votre éthique pour un emploi honnête de ses données. Ron s’adresse bien sûr ici aux Scientologues, mais vous trouverez aussi ces données plus diluées dans ces œuvres grand public.

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HUBBARD COMMUNICATIONS OFFICE
Saint Hill Manor, East Grinstead, Sussex
BULLETIN DU HCO DU 19 MAI 1960

Directeurs de Franchises
Secrétaires du HCO
Secrétaires de l’Association

COMMENT L’AIDE EST DEVENUE TRAHISON

L’aide est le Bouton qui a mis le monde sens dessus dessous il y a quelques millions d’années. C’est là que nous trouvons notre pc. « L’aide, c’est de la trahison », alors il n’y a pas moyen de s’en sortir. La Scientologie « doit être mauvaise », parce que l’aide, « c’est de la trahison ». Tout le monde le sait. Donc, si les Scientologues aident les gens, « nous sommes des traîtres » !

Bouton = mot ou sujet abordé qui réveille inconsciemment et systématiquement une réaction de la part de la personne. Mot qui réveille une mémoire imposant son contenu malgré la personne. Élément de l’environnement mettant la personne en mode robot.

pc = Pré-clair = personne auditée et suivant le cursus vers l’état de Clair, c’est-à-dire n’ayant plus de traumatismes, de boutons, de malaises, d’idées fixes, etc… bref libre spirituellement.

Nous avons entendu ça, nous l’avons vu. Mais maintenant, nous savons ce que c’est et nous pouvons rire doucement lorsque des gens essaient de nous réduire en miettes.

Quand ils ont vraiment voulu en faire un piège, ils ont fait de la propagande comme quoi « l’aide, c’est de la trahison ». Personne ne doit recevoir d’aide, sinon, il sera trahi. Comme ça, les thétans restent dans leurs cages.

Thétan = Esprit, la personne elle-même, l’individu dont la caractéristique principale est qu’il est source créatrice et éternelle. Mot choisi pour se différencier de toutes les idées associées au mot esprit.

La façon dont ce mécanisme s’est développé est intéressante. Le jeu de la victime est très ancien. Il avait pour but de soulever la pitié et de sauvegarder les possessions. Cela devint un piège. Une fois que quelqu’un croyait aux victimes, il se mettait à n’aider que les victimes.

C’est ainsi que commença cet enchaînement : une personne fait du mal à un autre (qui jouait la victime), la personne est désolée pour l’autre, elle cherche à l’aider. (Vous avez déjà vu un pompeur d’aide professionnel ?) Lorsque ce mécanisme devint très vieux, l’action de blesser fut identifiée à l’action d’aider. Étant donné que le cycle était blessure-victime-aide, dès que le temps devient vague, les parties du cycle deviennent blessure égale aide ou aide égale blessure.

Pendant longtemps, il a été vrai que aide et blessure pouvaient être une seule et même chose. C’est ainsi que le fait de « ne compter que sur soi » devint une vertu. Vous avez connu des gens qui refusaient l’aide parce qu’ils étaient « fiers » ou qu’ils « ne comptaient que sur eux-mêmes ». Eh bien, ce n’est que la première phase de « aide égale blessure ».

La seconde phase n’est pas si ancienne. Je pense que le processus ne s’est renversé que ces deux derniers millions d’années ou quelque chose comme ça, dans cette partie de l’univers. Le « renversement total » n’est pas l’identification de l’aide et de la blessure, mais une dissociation, une dispersion complète sur le sujet. « Comment blesser » devient aider. C’est cela, la trahison. Quelqu’un offre de l’aide avec l’intention de nuire, afin de créer une dépendance par rapport à quelque chose de déguisé qui, à l’usage, finit par nuire. C’est cette action psychotique qui met la dernière touche au piège. « J’ai peur d’accepter de l’aide, parce que c’est une tentative pour me trahir » ; c’est là l’idée fixe qui prévaut maintenant. Avec une idée pareille, on ne peut ni avoir de jeux, ni de vie. C’est cette idée qui a empoisonné le Christianisme.

Maintenant, cela peut vous être difficile à concevoir, parce que, par le simple fait que vous êtes Scientologues, vous ne croyez pas que toute aide est offerte dans le simple but de nuire. Mais d’autres ont cette idée, et c’est pourquoi vous avez du mal à les comprendre eux. Nous sommes une poignée, parce que nous ne croyions pas que toute aide était nuisible. Mais dès que nous avons cherché à aider les autres, qui n’acceptaient pas la Scientologie, nous nous sommes heurtés à un mur. Quel était ce mur ? L’idée fixe citée plus haut. Dans le monde, la majorité des gens croient, de toute évidence, que l’aide n’est qu’une intention de nuire. C’est plus que « aider-peut-blesser ». C’est « toute-aide-est-dangereuse-parce-que-quiconque-offre-de-l’aide-ne-cherche-qu’à-nuire. »

Ce n’est pas la peine d’en dire davantage : vous avez trop d’exemples autour de vous. Vous pouvez en trouver des tas autour de vous. Cependant, les Mau-Mau n’ont tué que les Blancs qui cherchaient à aider les Noirs. Et juste au moment où je terminais les recherches sur cette technologie (qui est maintenant plus qu’une simple théorie), je reçus une lettre d’un juge blanc à qui on avait demandé de l’aide. Paniqué, il exigeait qu’on lui fiche la paix tout de suite ! C’était très amusant. Avec mes papiers de recherche sur mon bureau, devant moi, je me trouvais confronté à un exemple parfait pour illustrer la technologie ! Pauvre homme : s’il savait où sa lettre a atterri ! Je lui répondis et sa lettre suivante était tellement confuse ! Il se peut même qu’il s’en remette !

Ces idées fixes, ces convictions fixes, nous les rencontrons partout et elles ont cours dans le monde entier. Voilà l’idée qui nous barre la route, qui stoppe notre intention sincère de rendre l’homme libre. C’est pourquoi la presse, et, pour certains d’entre nous, les amis et les connaissances les plus chères, nous donnent du fil à retordre.

Nous avons été dans la confusion. Mais l’homme est ainsi. L’homme est encore dans la confusion. Nous ne le sommes pas. En étudiant et en connaissant nos données sur le sujet, nous allons faire sauter le « mur ».

La psychose, la névrose ou la maladie, quelles qu’elles soient, sont fragiles, aussi féroces qu’elles paraissent. Elles ne peuvent se développer qu’en présence de mensonges.

Maintenant, qu’adviendra-t-il des obstacles que nous avons rencontrés, lorsqu’ils seront frappés à coups de vérité ?

Je nous donne vingt mois pour rendre Clair tout le personnel des Orgs Centrales, trois ans pour rendre Clairs tous les Scientologues, deux décades pour rendre Clair une bonne partie de la Terre. C’est l’idée que j’en ai maintenant.

L’infiltration et les nombreuses attaques dès 1950 n’ont pas permis d’atteindre cet idéal, du moins dans les temps mentionnés.

Alors apprenez à manier l’aide. Clarifiez-la dans le co-audit ou dans le HGC. Apprenez une douzaine de façons d’en discuter de façon à briser la barricade de « l’indifférence » (qui n’est en fait que de la crainte) et attelez-vous à la tâche.

L’aide n’est pas nuisible. Ce n’est pas la meilleure façon de blesser.

L’aide, c’est l’aide ; un point, c’est tout. Aplanissons ce Bouton, que nous ne l’oubliions plus jamais, et apprenons adroitement à anéantir la psychose de l’aide chez les autres par le seul moyen de la conversation.

Notre liberté d’aider, nous l’avons acquise à la sueur de notre front.

Servons-nous en.

RON HUBBARD

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Ce texte servit entre autre au développement d’un niveau d’audition (étape dans un grade pour être Clair) nettoyant ces peurs associées à l’aide, libérant la personne sur l’aide afin de lui permettre de la recevoir et de la donner librement et intelligemment.

En parallèle du travail de Ron Hubbard d’élever l’esprit en développant sa technologie, les oppresseurs ont sophistiqué toujours plus leurs outils pour maintenir les « Thétans dans leur cage » en appuyant sur le bouton de l’aide, en créant des trahisons de toutes sortes (effets secondaires des médicaments, immunité juridique du corps médical, vaccins imposés, lourds impôts sociaux, promesses électorales non tenues, sommets climatiques sans suite, état d’urgence abusif, médiatiser que les Scientologues seraient d’une secte,…).

Ajoutez à cela que les oppresseurs s’évertuent à briser tous les groupes capables d’aider réellement et durablement, groupes qui prendraient trop de pouvoir par l’engoument du public, et qui n’entreraient pas dans leurs rangs. Ce qui fût la position prise par le fondateur envers les autorités dès le début de son succès en 1950. Il fallait donc descendre la Scientologie coûte que coûte en implantant la peur du sujet dans toutes les têtes.

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