Ainsi a-t-on la preuve scientifique que l’acte néfaste est bien néfaste pour son auteur. L’électromètre qui est le porte-parole de la présence de charge mentale, nous indique que l’acte néfaste gonfle le mental réactif, le pool de tous les nœuds dans le mental, avec son cortège de conséquences psychologiques déjà mentionnées…
Sachez que LRH a développé une vaste technologie pour identifier, comprendre, prévenir et effacer du mental les retenues afin que leurs effets dans la vie courante disparaissent et laissent place à la situation positive d’avant l’acte néfaste.
Conséquence de la démarche : les relations humaines s’améliorent, les affaires reprennent, le champ des possibles s’agrandit et devient accessible, que du bonheur en plus. Et ce bonheur retrouvé suffit bien souvent à réparer dans l’univers physique les tors censés être irréparables.
Il y a malheureusement pleins d’autres erreurs que la personne peut faire, par exemple avec ses postulats, des incompris, des manques de données, des données qu’elle prend pour vraies et qui ne le sont pas, des conflits, des confusions, etc, qui peuvent générer de la charge mentale et donc des aberrations, des schémas de comportements illogiques, la réduction de ses capacités, maux et plaintes, basses émotions et fragilité. Tenez, les mensonges sont de petits actes néfastes… zut n’est-ce pas ?
En effet, le mensonge n’est autre qu’une distortion volontaire de la réalité, l’affirmation consciente que quelque chose est ce qui n’est pas. Il crée une tension mentale qui puise son énergie dans le corps et modifie la résistance du corps, l’électromètre le détecte aussi. Toutefois, le niveau de conscience (connaissance de l’éthique et la morale) et l’influence que le sujet peut imposer volontairement à son corps permettrait de ne pas produire la réaction dans le corps. L’obtention d’un mensonge en thérapie Scientologique produit une libération effective, tout comme n’importe quel acte néfaste ainsi extrait. Le code de déontologie (code de l’Auditeur) interdit d’exploiter tout contenu des séances.
On peut dire que chaque tare humaine illustre un genre d’aberration mentale. Et oui, la panoplie des types de nœuds dans le mental s’élargit, nous ne discutons ici que des actes néfastes et retenues. LRH a répertorié ces charges mentales ou nœuds psychologiques avec la solution à leur dénouement, grâce à son outil l’électromètre, sa compréhension des phénomènes qu’il transmet dans ses livres et cours, et ses procédures éprouvées de libération de l’être.
Les équations suivantes restent donc bien valables :
erreurs ou douleur = charge mentale = mental réactif = aberration = malheur
charge mentale = vu par l’électromètre
On peut voir ces nœuds aussi du point de vue inverse, celui des capacités : après l’événement douloureux ou l’erreur mentale, des capacités ont été réduites. Par exemple, on a plus de vertige, le pas moins sûr, moins de mémoire, moins de motivation, on tremble plus, moins le moral, moins doué à prédire les choses avec justesse, moins d’espace, plus critique et moins positif, on voit ou entend moins bien, vitesse de réaction perdue, etc… Ce sont quelques manifestations de capacités diminuées.
Chaque aberration réduit son propre auto-déterminisme, son libre arbitre, et globalement sa liberté spirituelle. Nous sommes en tant qu’esprit moins libre de choisir. Ces charges cumulées dans le mental empêchent la pleine expression des potentiels et capacités de la personne. C’est cela la liberté spirituelle : se retrouver ou exister sans ces tares imposées du mental réactif, être soi-même avec sa vraie nature et ses propres capacités d’origine.
LRH a tracé une route pour retrouver sa nature originelle, elle consiste à se renforcer par la connaissance tel que vous le faites en lisant ces lignes et les livres de LRH, et à effacer les erreurs et charges mentales par sa thérapie. Thérapie dont on parle tout de suite dans le chapitre suivant.
À retenir :
Erreurs et douleurs effacées + comprendre = mental réactif effacé = capacités retrouvées = bonheur
Personne – mental réactif = personne très capable